A la pêche nazairienne
En terrain inconnu dans la ville de Saint-Nazaire, Clémence et Anya se sont longuement questionnées sur les spécialités locales avant de s’élancer d’un bon pas à la rencontre des habitants. L’activité portuaire demeure aux dires de Didier, pêcheur « pour le plaisir » de merlan, d’anguille (l’été) et de bar. Quant à Dominique, patron pêcheur sur le Saint-Laurent, il mise ces temps-ci sur la pêche à la civelle et constate l’évolution d’une ville en mutation, « accueillante » de l’avis d’une maman en visite culturelle avec ses deux filles et intéressée par l’histoire de la ville bombardée pendant la seconde guerre mondiale. Pour d’autres, le remblais, le cinéma, le théâtre, le jardin des plantes et les rendez-vous sportifs participent à faire de Saint-Nazaire une cité où il est, dit-on, « agréable de vivre ».